Avec près de 2 milliards de voitures sur Terre, la gestion de la circulation est une activité qui devient de plus en plus pénible. D’ailleurs, malgré l’assistance des automates, une étude fréquente est souhaitée à cause des actes imprévisibles de l’homme. Pour avoir une idée de l’ampleur de cet enjeu, vous allez alors découvrir à quel point le fait de garantir la sécurité des automobilistes d’un chantier est une tâche complexe.
Qu'est-ce que la gestion de la circulation ?
Les transports terrestres peuvent être un réel calvaire surtout dans les milieux urbains. La gestion de la circulation vise justement à éluder les embouteillages tout en essayant de protéger la vie des usagers routiers. Un système qui fonctionne tel un langage. De plus, il semble être compréhensible par tous les automobilistes du monde entier. Toutefois, certains pays émettent certaines exceptions, car leurs conducteurs auraient apparemment une autre réaction vis-à-vis du trafic routier. À titre d’exemple, plusieurs pays africains usent encore des moyens humains (agents) pour gérer leur trafic, tandis que ceux du Nord utilisent généralement des feux de circulation. En passant, il est important de savoir que les feux tricolores sont gérés par une machine nommée “contrôleur de carrefour à feux”, et non par une tierce personne. Faisant en sorte que la circulation émette une logique, l’automate peut alors être relié à plusieurs feux de signalisation. Outre les signalétiques tricolores, les panneaux sont également des outils utilisés dans la gestion de la circulation. Ici, la signalisation temporaire de chantier est un matériel de signalisation de premier ordre, car il garantit la sécurité de tous les usagers de la route situés à proximité d’un chantier.
Les différents types de panneaux signalétiques pour les travaux routiers
Dans l’optique d’avoir un trafic bien fluide, il existera alors divers types de panneaux signalétiques. Afin de renforcer vos connaissances en sécurité routière, un rappel sur la signalisation routière sera ainsi exhorté.
À cet effet, vous aurez d’abord le petit drapeau (40 cm x 50 cm) rouge appelé “K1 fanion” pour énoncer un danger temporaire de faible intensité. Au-delà de son hauteur (1 mètre), sachez que celui-ci est fabriqué à partir d’une fibre textile à base de plastique (nylon). Ensuite vient les balises K5, une catégorie qui sert surtout de balises de guidage. Pour information, celle-ci est répartie en 4 sous-catégories: K5a (en forme conique), K5b (piquet), K5c (balise d’alignement), et K5d (balise cylindrique de couleur jaune). Faute de K5b, les spécialistes de la signalisation utilisent parfois des rubalises (K14) pour avertir les voituriers de la présence d’une zone de chantier. Cette zone nécessite aussi l’usage d’une balise de type K2 pour informer le début et la fin du chantier. Enfin, il y a également des panneaux qui annoncent les rétrécissements (type K8), et ceux qui séparent les voies routières (type K16).
Autres conseils pour protéger ceux qui utilisent la route des travaux routiers
Théoriquement, une signalisation de chantier a pour but d’anticiper l’action du conducteur. Ainsi, le/la chef(fe) de chantier est obligatoirement tenu de protéger ses travaux à l’aide d'un balisage de chantier. Un procédé “2 en 1” qui peut parallèlement éluder les accidents sur la voie publique (AVP). Sachant que l’obscurité favorise les collisions non désirées, il est d’ordre capital de renforcer la visibilité de chaque panneau pendant la nuit. Pour ce faire, ce dernier aura alors besoin d’accentuer sa visibilité via une couleur fluorescente. Par ailleurs, cela explique le port obligatoire d’un équipement de protection individuelle (EPI) adéquat pour les ouvriers lors de leurs services. Pour leur sécurité, les maçons devraient savoir que travailler hors des balises est catégoriquement interdit. En cas d’urgence, l’intervention d’un signaleur serait finalement requise, si les responsables doutent de la fiabilité des signalétiques.